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Traditions n° 25


Réf. : TR025

ISBN: M06413-25

Nombre de pages : 116

Format : 21.5 x 29,5 cm

Date de parution : 22 mars 2019

Description :

Ce 25e numéro de Traditions explore une fois de plus l'incroyable diversité des opérations militaires tout au long du XIXe siècle. Sa couverture évoque le rôle de la France dans la guerre civile espagnole qui débute, le 29 septembre 1833, avec la mort de Ferdinand VII, celui-là même que Napoléon Ier contraignit à l'abdication en mai 1808 avant de le remettre sur le trône le 11 décembre 1813, celui-là encore dont Louis XVIII sauva le règne en 1823 au terme d'une brillante expédition (voir Traditions n° 22). Mais, dix ans plus tard, le contexte a changé et Louis-Philippe ne peut se permettre d'engager l'armée française dans une guerre impopulaire. Il choisit alors de mettre la toute jeune Légion étrangère à la disposition de la reine Isabelle II. Avec cette mission, débute la légende de cette unité d'élite qui, contrainte de renoncer au drapeau français, fait preuve de compétence et de savoir-faire dans une guerre particulièrement féroce avant d'être abandonnée de tous, y compris par la France (voir page 26).
Bien plus tard, au début de l'année 1871, les Français sont dans une situation intenable et tentent une manoeuvre hardie pour couper les communications de l'ennemi et rompre ainsi le siège de Paris. A Villersexel, les combats sont particulièrement âpres et l'armée de l'Est du général Bourbaki parvient à défaire les Allemands (voir page 14) mais cette victoire est hélas sans lendemains. Le 14 octobre 1805, le VIe corps du maréchal Ney remporte à Elchingen une autre belle victoire face aux Autrichiens de Johann von Riesch (voir page 62) mais celle-ci sera parfaitement exploitée puisqu'elle aboutira à la capitulation de l'armée du général Mack quelques jours plus tard à Ulm.
Durant la guerre civile américaine, le bouillant Joseph Hooker, parvenu à la tête de l'armée du Potomac, tente une autre brillante tactique mais, au moment de parachever son succès, il renonce à affronter le général Robert Lee et, profondément humilié, se voit renvoyé à des fonctions subalternes (voir page 42). Lors de la Révolution, un autre personnage étonne par son audace et son franc-parler ; il s'agit de Michel Chastel, un Savoyard qui prend la tête de la légion de la montagne avant de se voir destitué de son commandement et de finir sa vie au Texas (voir page 50). Il fit clairement partie des soldats politiques de la Révolution, à une époque où la France avait besoin de tous pour faire face à ses ennemis (voir page 88). Du fait de leur mission, les chevau-légers de la garde royale sont eux aussi tributaires des changements politiques de cette période avant de disparaître définitivement fin 1815 (voir page 93).
Notre traditionnelle revue de détail s'intéresse à l'un des fondements de l'armée française, les fameux sous-officiers qui en assurent le fonctionnement au quotidien, avec les têtes de colonne des grenadiers à cheval de la Garde impériale (voir page 80). Et nous sommes fiers d'évoquer ici l'une des premières esquisses des nouveaux drapeaux de la Grande Armée en 1812 (voir page 76).
Voilà donc un numéro de Traditions riche en découvertes de toutes sortes. Mais, vous le découvrirez en feuilletant ces pages, nos rubriques explorent également avec bonheur bien d'autres aspects de cette histoire si extraordinaire.

Traditions n° 25

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